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La côte sauvage, dans les cieux, l'hiver
La côte sauvage
Sur fond d'eau brune, le ciel s'empourpre
Couvert de sa couche dorée
C''est la nuit qui commence à tomber
Une note s'étale, et s'égrène
Un goéland argenté apparait
Ses cris s'emplifient dans les éhos de la côte sauvage
Les odeurs iodées se répandent dans la nuit
Et les étoiles scintillent à l'infini
Sur les criques le ressac, puis les vagues déversent leurs écumes
La lune projette sa douce lumière sur le miroir de l'océan
Quel plaisir de découvrir ces sites dévoilés dans leur plus grande
beauté qu'offre à nouveau la côte Sauvage
Dans les cieux
J'observe la voie lactée, car elle fait renaître en moi
Le repos, la contemplation
Depuis des mois les olies cendrées, et les bernaches sont partis
En direction des pays chauds
Oh! merveille de l'instant les revoilà
Avec les jolis colombes, sans doute nous confient t'elles
Soius le signe d'une planète trop souvent négligée
Leurs messages d'amour, de respect, elles nous démontrent
Parmi ce rassemblement de toute la gent ailée
Que malgré les chemins différents, l'ivresse de la beauté
Se découvre surtout vers l'union , que formme les richesses
des coeurs.
L'hiver
Le cotonéaster apporte ses fruits décoratifs
Les jolies baies du gui, avec d'autres arbres rustiques s'illuminent
Comme le viorne, l'églantier, puis le grenadier
Où fauvettes , et chardonnerets s'investissent ,et s'animent
Dans une panoplie irrésistible d'acrobaties.